Cette journée célèbre la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE), adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1989 et ratifiée par la France en 1990. Acceptée par 196 pays, elle est le premier accord mondial qui garantit les droits et les besoins fondamentaux des enfants, et prévoit 54 droits, répartis en quatre principes essentiels :
– Les enfants ne doivent pas être traités différemment à cause de leur origine, de leur religion ou de leur statut
– Tout ce qui est entrepris doit être dans l’intérêt supérieur de l’enfant.
– Les enfants ont le droit de vivre, de grandir et de se développer.
– Les enfants ont le droit de dire ce qu’ils pensent et de se faire entendre.
En tant que Député, et surtout en tant que mère, je tiens à exprimer mon engagement et à souligner l’importance de continuer à œuvrer pour garantir à chaque enfant les droits à la protection, à la santé, à l’éducation, à la non-discrimination, dans notre pays, et à travers le monde. Je suis fière de participer à cette célébration et de réaffirmer mon dévouement envers la protection et l’épanouissement des enfants. Notre responsabilité envers les générations futures ne peut être sous-estimée, et il est impératif que nous continuions à promouvoir des politiques et des initiatives visant à favoriser le bien-être des enfants et à garantir un environnement sûr, stimulant et respectueux pour chacun d’entre eux.
Alors qu’aujourd’hui, en France, 1 enfant est tué tous les 5 jours dans la sphère familiale, 1 enfant est victime de viol ou d’agression sexuelle toutes les 3 minutes, et qu’1 enfant sur 5 vit sous le seuil de pauvreté, cette journée doit nous rappeler également l’importance de l’éducation et de la sensibilisation pour faire progresser les droits de l’enfant.