Depuis le 1er janvier 2024, 122 féminicides ont été recensésen France. Derrière ces chiffres glaçants, ce sont autant de vies brisées, de familles endeuillées et de drames humains insupportables.
La violence faite aux femmes est une violation des droits fondamentaux. Elle entrave les progrès en matière de santé, d’éducation et de développement, et impacte chaque aspect de notre société.
Cette Journée internationale, instaurée par l’ONU en mémoire des sœurs Mirabal, assassinées en 1960, est l’occasion de rappeler que prévenir ces violences est non seulement possible mais indispensable.
Je tiens à saluer le travail remarquable des associations, des forces de l’ordre, des soignants et de toutes celles et ceux qui, au quotidien, œuvrent pour accompagner les victimes et leur offrir un avenir meilleur. Mais ce combat ne peut être gagné qu’avec la mobilisation de toutes et tous.
Ensemble, nous devons agir pour briser le silence